Dans le monde du développement, la complexité la plus difficilement compensable n'est pas technique. On apprend à composer avec les échéances et les imprévus. On peut refactorer un code bancal, trouver un fix pour un bug, migrer de stack, dimensionner l'infrastructure. Les véritables frictions ne se
Placer la complexité au bon endroit, c’est décider où se jouera la vitesse, la fiabilité et la maintenance dans 5 ans. Pourquoi le débat existe Nos SPA JavaScript trimballent depuis dix ans le même passif : Bundles obèses Hydratation lente Tooling hypertrophié Équipes fragmentées Deux courants cherchent à s’en
Ou comment bien faire peut parfois empêcher de faire simplement. Le métier parle beaucoup de qualité. Du code propre, testé, typé, orchestré, isolé, injecté. Il y a des articles, des talks, des conférences entières sur l'art de bien nommer une fonction. Et c’est vrai que ça compte.
Ou pourquoi même la meilleure conception peut devenir un problème dès qu’on change les gens autour. Le métier parle souvent d’architecture scalable, de stack maintenable, d’infra résiliente. Mais très peu d’équipes parlent d’elles-mêmes avec les mêmes exigences. Comme si l’humain était un détail. Comme
React n’a rien inventé… il a surtout orchestré, avec élégance, ce que le web savait déjà faire. Et comprendre ces bases, c’est se donner la liberté d’aller au-delà du framework. 🧩 Sous React, il y a… le DOM Un composant React, à la fin, c’est juste une
Ou comment construire dans le vide fatigue plus sûrement qu’un backlog chargé. Il existe un type particulier d’épuisement chez les développeurs. Il ne vient pas des bugs. Ni des specs floues ou compliquées. Ni même de la stack en constante évolution. Il vient de l’absence de direction.
Ou pourquoi ne pas clarifier l’autorité, c’est la laisser s’installer par défaut. Dans certaines équipes, il n’y a pas de chef. Mais il y a des décisions. Et ces décisions… viennent bien de quelque part. Pas toujours du lead officiel. Pas toujours du PM. Parfois d’